La richesse d’un doc­to­rat en ges­tion de crise

Pour son doc­to­rat, Daniel Fran­coeur s’est inté­res­sé à la détec­tion des signaux faibles à tra­vers sa thèse de doc­to­rat : « Pré­ven­tion et atté­nua­tion des crises à par­tir de l’attribution de sens aux signaux faibles : la capa­ci­té dyna­mique orga­ni­sa­tion­nelle de détec­tion et d’amplification des signaux faibles ». Son objec­tif : com­prendre com­ment les orga­ni­sa­tions publiques font pour détec­ter les signes du dan­ger et pré­ve­nir cer­taines crises et pour­quoi cer­taines orga­ni­sa­tions ne déve­loppent pas cette capacité. 

Daniel Fran­coeur relate les appren­tis­sages qu’il a tiré de son par­cours doc­to­ral « J’ai été cher­cher des connais­sances et aus­si j’ai déve­lop­pé une méthode de tra­vail qui per­met d’être effi­cace et effi­cient dans des dos­siers complexes. » 

Vision­ner cet échange entre Daniel Fran­coeur et sa direc­trice de thèse, Marie-Chris­tine Ther­rien, pro­fes­seure à l’ENAP et direc­trice du Cité-ID :